Je suis située à Paris dans le 9ème arrondissement Ma pratique thérapeutique s’appuie sur de multiples connaissances – sociologiques, psychanalytiques, psychopathologiques et hypnothérapeutiques.
Selon les besoins ou le souhait du patient, je propose soit une thérapie d’inspiration psychanalytique ou un travail personnel appelé psychanalyse.
Qu’est ce qu’une thérapie d’inspiration psychanalytique?
Une psychothérapie s’appuie sur le psychisme pour soigner de multiples malaises. Elle se focalise sur un symptôme. Cela passe par la parole du patient que l’on reçoit dans une relation de face à face. A partir du récit du patient, je questionne les expériences de l’enfance, mêmes très précoces qui s’inscrivent dans l’inconscient et se retrouvent transformées dans la vie de l’adulte. Je m’intéresse aussi à la relation parents/enfant, au vécu individuel des expériences de l’enfance et de l’adolescence et je peux m’attarder sur certains mots employés par le patient venant apporter un sens particulier dans la relation. J’utilise également beaucoup de métaphores car elles véhiculent un message que le patient peut prendre au niveau ou il se trouve au moment de la thérapie.
Le but est d’arriver à ce que le/ la patient(e) modifie leurs perceptions afin d’éliminer ou d’atténuer les symptômes perturbateurs dont il/elle a du mal à se défaire occasionnant parfois des répétitions en boucle.
Quel est l’apport de l’hypnose dans ma pratique de psychologue ?
L’hypnose ericksonnienne sur laquelle je m’appuie, permet au patient , lorsqu’il rencontre certaines résistances dans le processus de thérapie, d’une part de mobiliser ses forces intérieures et d’autre part, d’accéder à une ouverture pour entrevoir une autre façon de percevoir les choses.. Il n’est alors plus question, lors de cette pratique d’hypnose, de chercher un sens mais plutôt une solution par le corps, les ressentis et les émotions.
Cependant, il est nécessaire de comprendre que les paroles du thérapeute sont certes très importantes, mais ce que le patient en fait, représente l’essentiel du travail.
Le patient est donc l’acteur principal de sa guérison.
